Villevallier

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Villevallier
Villevallier
La mairie de Villevallier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Sens
Intercommunalité Communauté de communes du Jovinien
Maire
Mandat
Jean-Marc Grillet-Aubert
2020-2026
Code postal 89330
Code commune 89468
Démographie
Population
municipale
417 hab. (2021 en diminution de 1,42 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 32″ nord, 3° 18′ 52″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 211 m
Superficie 8,37 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Julien-du-Sault
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Julien-du-Sault
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Joigny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Villevallier
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Villevallier

Villevallier est une commune française, située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Villevallier se trouve dans le nord-ouest du département de l'Yonne, avec au sud-est sa sous-préfecture Joigny à 9 km et sa préfecture Auxerre à 37 km. Paris est à 140 km au nord-ouest.

Outre Joigny, la ville la plus proche est Villeneuve-sur-Yonne à 10 km au nord[1].

Le bourg est situé entre la D606 (tronçon de la nationale 6) et la rive droite de la rivière Yonne, qui marque la limite de commune à l'ouest avec, d'amont en aval, Villecien et Saint-Julien-du-Sault - ce dernier bourg se trouvant de l'autre côté du pont de la D107 sur l'Yonne - seul pont sur la commune[2].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Yonne est barrée par l'écluse de Villevallier vers le lieu-dit Les Sablières, 460 m après son entrée sur la commune[2].

Forêt[modifier | modifier le code]

En note générale, l'essentiel de la commune est boisée. Les seuls endroits largement découverts sont le fond de vallée de l'Yonne - également occupé par le bourg), la moitié inférieure du coteau de la vallée au sud du bourg, ainsi qu'environ 117 hectares en haut du plateau au sud-est du bourg, ces derniers prolongés au-delà d'une avancée de la forêt par les Placeaux d'une surface d'environ 293 ha[2].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La D606 ou N6 traverse le bourg en longeant la rive droite de l'Yonne (elle passe en rive gauche par le pont sur la commune voisine Villecien au sud). Les autres voies publiques sont les quelques rues desservant le bourg y compris la D107 passant le pont qui relie Villevallier à Saint-Julien-du-Sault en rive gauche, plus 2 petites routes de campagne sans issue (route de Vallangis, la Côte Froide) et le chemin de halage, caillouté (calcaire) et carrossable[2].

Villevallier est proche de deux autoroutes, qui se croisent à l’échangeur de Courtenay à 19 km l'ouest : l'autoroute A6, avec les entrées-sorties no 18 « Sépeaux » à 16 km au sud et no 17 « Courtenay » ; et l'autoroute A19 avec son entrée-sortie no 4 « Courtenay »[2].

L'aérodrome de Joigny est à 10 km au sud-est, sur la D20 au nord de Joigny[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Saint-Julien-du-Sault Armeau Dixmont Rose des vents
N Joigny
O    Villevallier    E
S
Cézy Villecien

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 738 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cudot_sapc », sur la commune de Cudot à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 765,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villevallier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Julien-du-Sault, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[13] et 2 772 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Julien-du-Sault, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69 %), terres arables (16,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones urbanisées (4,3 %), eaux continentales[Note 4] (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Au moins une sépulture collective (inhumations successives et non une seule inhumation de plusieurs personnes à la fois)[19] a été trouvée vers les Plachis[N 1], à cheval entre les communes de Villevallier et d'Armeau. Son mobilier incluait des poteries de la fin du RRBP (rubanné rhénan dans le bassin parisien[20], avec des incisions caractéristiques de cette époque sur la lèvre des pots[21]. Au moins une couche archéologique a livré une hutte[22] et une torque à arceaux[23].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1275, Jean-Henry de Saint-Julien vend à Étienne, archidiacre d’Étampes, le port existant sur la rivière d’Yonne, entre Saint-Julien-du-Sault et Villevallier. En 1277 Gilon (Gilles Cornu), archevêque de Sens, rachète le port avec des conditions.

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Au XIXe siècle la fête patronale de saint Fiacre était le .

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

N'ayant auparavant pas de gentilé, celui de Villevallérien a été choisi en 2010.

Au la région Bourgogne, à laquelle appartenait Villevallier, a fusionné avec la région de Franche-Comté pour devenir la région Bourgogne-Franche-Comté.

Le pont[modifier | modifier le code]

Le 4e d'infanterie passe le pont.

Longtemps la rivière a été franchie par un gué seulement praticable en période de basses-eaux, puis par un bateau remplacé par un bac dans les années 1820. Afin notamment de favoriser les activités agricoles entre les villes de la rive gauche et celles de la rive droite et le passage des journaliers, et pour éviter d'aller passer le pont à Villeneuve-sur-Yonne ou à Joigny, on construisit un pont à péage en 1833 et mis en service le [24]. Ce pont suspendu, construit par décret du et d'une longueur de 90 m[24], est une œuvre de la Compagnie Seguin (Marc Seguin) qui a financé la construction du pont dont elle était propriétaire pour une concession de 99 ans et dont elle assurait le péage. Toutefois le péage s'est arrêté avec la loi du qui obligeait les communes à racheter les concessions, pour rendre libre et gratuit l'accès au pont.

Économie[modifier | modifier le code]

Rue principale.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
avant 1988 ? Guy Vasseur    
mars 2008 2014 Patrick Leloup[25]    
2014 En cours Monique Mercier    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 417 habitants[Note 5], en diminution de 1,42 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
556545568568549574552556585
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
488485444450419406400407402
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
353352364335323335356313310
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
273251305366359368434435414
2015 2020 2021 - - - - - -
423418417------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Fiacre[modifier | modifier le code]

Elle est formée de deux rectangles accolés. Le vaisseau mesure 18,40 m. La hauteur de la voûte est de 10 m La tour s'élève au-dessus du porche, dont la porte est ornée de colonnes de style du XIIIe siècle. À l'intérieur, la chapelle voûtée de la Vierge date de 1624.

Cette église renferme un tableau sur toile, L'Adoration des bergers, peint en 1639[30] et une statue peinte en pierre de la Vierge à l'enfant, du XIVe siècle[31], objets classés en 1992 à l'inventaire des monuments historiques.

Éolienne Bollée[modifier | modifier le code]

Elle est construite en 1893 par l'entreprise Bollée pour alimenter le lavoir communal. Le modèle choisi est le n°3 du catalogue de ce constructeur équipé d'un rotor de 5 m de diamètre. Remise en état en 1920, 1930 et 1932, elle est vendue avec le lavoir et l'ancien réservoir de la ville, en 1972, à un particulier[32]. Le propriétaire du terrain propose l'éolienne à la municipalité de Villevallier qui n'en veut pas puis à la ville de Sens qui l'accepte avec en contrepartie la pose d'un panneau au nom des propriétaires de l'éolienne qui mentionne ce don. Elle est finalement démontée en 2006 puis remontée en 2017 dans le parc du Moulin à Tan de cette ville[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Après s'être engagé jeune et avoir servi dans le Régiment d’Infanterie de Lorraine, il part en Amérique du Nord où il participe aux guerres tribales indiennes auprès des Indiens Creeks, et prend le nom de Tastanegy, c’est-à-dire grand guerrier, chef de guerre. Il rentre en France, est nommé général de brigade par Bonaparte le sous le nom de François Tastanegy. Il a publié 1802 un récit de ses aventures chez les Creek et meurt dans son lit à Villevallier. Il a des descendants de sa femme française et de sa femme indienne.

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune inclut une ZNIEFF :

  • La ZNIEFF de la forêt d'Othe et ses abords[34], qui englobe 29 398 ha répartis sur 21 communes[35]. Le milieu déterminant est la forêt ; on y trouve aussi eaux douces stagnantes, landes, fruticées, pelouses et prairies.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Coordonnées des Plachis : 48° 01′ 52″ N, 3° 19′ 33″ E.
Références sur la population
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Villevallier », sur google.fr/maps.
    Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) - cliquer sur "itinéraires".
  2. a b c d e et f « Villevallier, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Villevallier et Cudot », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cudot_sapc », sur la commune de Cudot - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cudot_sapc », sur la commune de Cudot - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Saint-Julien-du-Sault », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Julien-du-Sault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Laure Burlet, La place de la Côte-d’Or méridionale dans l’évolution des pratiques funéraires hallstattiennes de Bourgogne et Franche-Comté (thèse de doctorat en archéologie), Université de Bourgogne, , 564 p. (lire en ligne [PDF]), p. 62.
  20. Claude Constantin, « Précisions sur l’étape finale du Rubané récent du Bassin parisien et la formation du groupe de Villeneuve Saint-Germain », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 110, no 3,‎ , p. 473-494 (lire en ligne, consulté le ), p. 475 (page 3 du document pdf).
  21. Joël Lecornec, « Le complexe mégalithique du Petit-Mont à Arzon (Morbihan) », Revue Archéologique de l'Ouest, no 4,‎ , p. 37-56 (lire en ligne, consulté le ), p. 52.
  22. Augusta Hure, « Une nouvelle Figurine d'argile », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 30, no 4,‎ , p. 261-264 (lire en ligne, consulté le ), p. 264, note 3.
  23. Gilles Pierrevelcin, Les relations entre la Bohême et la Gaule du IVe au Ier siècle av. J.-C., vol. 2 - Annexes (thèse de doctorat), Université de Strasbourg, (lire en ligne), p. 499. Voir aussi la carte de répartition des torques à arceaux [PDF], carte no 18 p. 327 (p. 41/50 du document PDF) et sa légende p. 302 (p. 16/50 du document PDF)
  24. a et b « Pont de Villevallier, St Julien du Sault - 1834 », sur art-et-histoire.com (consulté le ).
  25. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 3 janvier 2014.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « tableau : l'Adoration des bergers », notice no PM89001510, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. « statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM89001509, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  32. « éolienne de pompage », notice no IA89000500, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Antoine Compigne, « Patrimoine - L'éolienne Bollée du parc du Moulin à Tan est complète », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. ZNIEFF 260014923 - Forêt d'Othe et ses abords sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  35. Liste des 21 communes de la ZNIEFF de la forêt d'Othe et ses abords